La toile est blanche. Il faut encore revisiter les paysages étranges de la mémoire, se perdre encore une fois dans le labyrinthe étroit des émois des moi.
Il faut investir son geste, lui donner la consistance de l'innocence, s'en imprégner, jusqu'à l'abandon.
Enfin, essayer de comprendre, de regarder l'indicible de ce qui réside dans la subversive nécessité de la peindre.